« Les yeux me sont de trop, et la parole.
À présent il me reste la page
vierge encore de l’insupportable
cantilène des grillons.
Parmi les feuilles mouillées du crépuscule
je ne sais où j’ai oublié la main.
Peut-être qu’avec la pluie
elle dévale parmi les pierres. »
Eugénio de Andrade