« Le poème n’en est vraiment que s’il est l’épiphanie de ce qui le déborde.
Ses mots ne vibrent, ils ne sont présents que s’ils sont prêts à se libérer de leur prestige même, s’ils aspirent à une autre présence. »
Pierre Dhainaut
« Le poème n’en est vraiment que s’il est l’épiphanie de ce qui le déborde.
Ses mots ne vibrent, ils ne sont présents que s’ils sont prêts à se libérer de leur prestige même, s’ils aspirent à une autre présence. »
Pierre Dhainaut