« À deux pas de la solitude et des interrogations, quatre marrons au fond des poches pour trésors, des enfants jettent leurs cris d’hirondelles sur les chemins d’automne… Des feux de jardins délivrent des messages qu’ignore l’application du jardinier… Le chat remet de la fourrure sous l’œil du soleil pâle. La terre se repose des outrances d’été. Encore quelques oiseaux s’égosillent au portant d’une lumière rousse… Accrochée à une herbe ballottée par les vents, ma main convoque l’écriture. »
Ile Eniger