« L’écriture ressemble au feu… C’est une éternité ambiguë qui permet au poème de vivre au loin, de se propager dans l’espace et dans le temps mais ce qu’elle sauve de l’oubli est en partie mort, comme une fleur séchée entre les pages d’un livre dont le charme est encore agissant et le poison infiniment subtil. »
Gérard Macé