« Chevillée à l’arbre
j’apprivoise…
La nuit
est notre seul lien d’étoiles…
Je veux
rajeunies cambrées comme des astres
que luisent les gerbes dans les fourches…
La paille entre les dents
je traque les sources les musaraignes
et leur bonne odeur des bois. »
Jocelyne Curtil