Le très-vivant

« Je ne saurais rien dire de cet état,
où je fus happé derrière l’horizon.

Comme renversé d’amour…

Le très-vivant.
Ce qui n’en finit pas de prendre visage
entre deux apparences…

Il faut aller vers ce ressac,
traverser les atomes.
Avec toutes les langues du vertige. »

Zéno Bianu

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