« Enlaçant ton ombre dans un rêve
Mes os se courbaient comme des fleurs.
Les bords de silence des choses
Le tu qui parcourt la présence des choses.
Ces yeux
Ne s’ouvrent
Que pour évaluer l’absence
Qui m’a perdue
Dans le silence fantôme des mots. »
Alejandra Pizarnik