« Je te salue à travers l’infranchissable vitre
de papier blanc,
petit âne aux yeux charbonnés d’étonnement.
Tu ne sauras jamais combien j’ai aimé
ta manière d’être attentif au rien du ciel. »
Christian Bobin
« Je te salue à travers l’infranchissable vitre
de papier blanc,
petit âne aux yeux charbonnés d’étonnement.
Tu ne sauras jamais combien j’ai aimé
ta manière d’être attentif au rien du ciel. »
Christian Bobin