« Ce qu’il ressentait c’était une joie simple et tranquille, une joie sans raison,
une joie sans limite et non pas consentie pour une heure,
la joie d’un homme qui s’engage sur un pont
et qui se met à chanter…
Mais il a suffi que le vent
jette une feuille morte à ses pieds
pour que le pont soit surchargé… »
Vladimir Holan