« Le sentier que l’on suit s’accroche au paysage,
se pend au cou des maisons basses,
fait un bout d’affection avec les fleurs.
S’il est sentier, il décrit l’amour.
S’il est parole et sentiment, il décline un pays.
À genoux devant la rivière, il se cherche dans son reflet. »
Claude Albarède