« J’aurai l’amour d’aimer et je prendrai le temps !
le temps d’un sein nu sous une chemise ;
le temps d’aimer les roses sauvages, l’abeille et le rossignol ;
le temps d’aimer les immortelles au vent du large ;
et surtout, et surtout, le temps d’aimer les mots,
parce que la poésie commence
et commencera toujours
là où le dernier mot n’appartient pas à la mort ! »
Tristan Cabral