« Nos mains se serrent
Pour un très long voyage
Et nous avançons
Par où se glisse le jour
Marchant entre l’abreuvoir et le grillage
Passant par des bords et des bords.
Nous savons où nous nous attendons
Nous savons où notre poème se cache
Mais il nous faut traverser encore des doutes et des peurs pour y arriver. »
Cédric Migard