« Celui qui écrit veut mourir, veut renaître…
Celui qui écrit veut dormir dans des bras matinaux
et dans la bouche des choses être une larme animale
ou le sourire de l’arbre.
Celui qui écrit veut être terre sur la terre,
solitude adorée, resplendissante,
odeur de mort et rumeur du soleil,
la soif du serpent, le souffle sur le mur, les pierres sans chemin,
le midi obscur tombant sur les yeux. »
António Ramos Rosa