« Plus vieux mais non vieilli,
J’ai le regard de l’enfant solitaire
Qui reflète longtemps les étangs et les arbres…
Mon chant profond n’est que la pluie aux tresses pâles,
Mon chant n’est qu’un murmure sans paroles,
Et l’on dirait parfois la phrase interminable
Du vent qui se disperse à travers la campagne. »
Jean-Pierre Schlunegger