« Un poème doit pouvoir être continué, repris, modulé à tout venant, par tout vivant. C’est à nous qu’il appartient de le prolonger, peut-être de le terminer, non pas tout de suite ni à haute voix, mais un jour, en rêve ou en actes, quelque part et de quelque manière, à l’heure où la poésie s’évade des bibliothèques que nous avons ou que nous sommes. »
Georges Henein