« Je lisais ce qui ne se lit pas :
Les nuages, les vents, les rochers,
Les ébats de la lune dans les bois,
Et le ciel avec son grand étang courbé
Où le soleil tout le jour accroît son caillou,
Onde par onde,
Et le déferlement changeant des nuages disposaient de moi.
Les arbres tournaient lentement en moi
Leurs pages tantôt bruyantes, tantôt muettes,
Tantôt épaisses et jaunies.
Les saisons me donnaient des leçons. »
Armand Robin