« Contre la façade du soir :
ombres, feu, et silence.
Pas vraiment le silence, mais son feu —
l’ombre
portée par un souffle.
Pour pénétrer le silence de ce mur,
je dois me dépouiller de moi-même. »
Paul Auster
« Contre la façade du soir :
ombres, feu, et silence.
Pas vraiment le silence, mais son feu —
l’ombre
portée par un souffle.
Pour pénétrer le silence de ce mur,
je dois me dépouiller de moi-même. »
Paul Auster