« Une main sur la rampe des mots, je fais un pas dans l’escalier du temps que l’on monte ou descend. J’avancerai demain dans un monde inversé, l’eau à la bouche, la flamme dans les yeux. Je ne voyage presque plus, mais j’arpente les routes qui survivent en moi. Je porte en écrivant des forêts dans les bras, des lacs dans les yeux, des montagnes échouées au fond de la poitrine. »
Jean-Marc La Frenière