« Seul avec le silence bourdonnant d’abeilles
et la fenêtre en croix
sur l’absence habitée
le coquelicot de la lampe dans la nuit
seul à traduire ce qu’on gagne
à vivre dans un lieu perdu
au bout du monde
où tout commence
(…)
seul avec tous
frère des choses
(…)
la plume à la fine pointe de l’âme
à mains nues
j’écris. »
Gilles Baudry