« Quand je peins un arbre, je deviens arbre,
Quand je peins l’eau, je deviens l’eau,
Quand je peins une tectonique,
Une tellurique de la montagne,
Je deviens tectonique,
Et la chose naît d’elle-même,
Je la vis intensément avec mon cœur,
Et elle apparaît, par moment,
De manière abstraite, de cette manière-là…
Il n’y a que le silence qui permet ça. »
Fabienne Verdier