Dans la fascination et la solitude de l’absence de temps

« Il n’y a pas de circonstances favorables. Même si l’on donne tout son temps à l’exigence de l’œuvre, tout n’est pas encore assez, car il ne s’agit pas de consacrer le temps au travail, de passer son temps à écrire, mais de passer dans un autre temps où l’on entre dans la fascination et la solitude de l’absence de temps. »

Maurice Blanchot

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