« On commence un vers comme on dit bonsoir
à un passant.
On dépouille
furtivement celui-ci de son histoire…
C’est à ce moment que débute le destin du poème. »
François Jacqmin
« On commence un vers comme on dit bonsoir
à un passant.
On dépouille
furtivement celui-ci de son histoire…
C’est à ce moment que débute le destin du poème. »
François Jacqmin