« Bouche sœur,
tu prononces un mot qui survit devant les fenêtres,
et sans un bruit, le long de moi, grimpe ce que je rêvais.
Je suis dans la pleine efflorescence de l’heure défleurie. »
Paul Celan
« Bouche sœur,
tu prononces un mot qui survit devant les fenêtres,
et sans un bruit, le long de moi, grimpe ce que je rêvais.
Je suis dans la pleine efflorescence de l’heure défleurie. »
Paul Celan