« Je vis, les mains tendues…
Je vis. J’aimerais dire :
Ses mots, ma fête
Ses yeux, ma prairie blanche
Mais je perds cœur et je suis
Ce noyé du soleil
Que le courant défait. »
Claude de Burine
« Je vis, les mains tendues…
Je vis. J’aimerais dire :
Ses mots, ma fête
Ses yeux, ma prairie blanche
Mais je perds cœur et je suis
Ce noyé du soleil
Que le courant défait. »
Claude de Burine