Daily Archives: 27 mars 2020

Je suis toutes ces choses

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« Je suis toutes ces choses, bien malgré moi, dans le tréfonds obscur d’une sensibilité fatale. » Fernando Pessoa

Publié dans Citations, Extraits, Théorie | Laisser un commentaire

La nécessité de savoir laisser

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« En peinture, il importe de savoir retenir, mais également de savoir laisser. Savoir retenir consiste à cerner le contour et le volume des choses au moyen de traits de pinceau. Mais, si le peintre use de traits continus ou rigides, … Lire la suite →

Publié dans Citations, Extraits, Théorie | Laisser un commentaire

Une plaine sonore

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« Le silence le plus dense Est une plaine sonore Où vibre sans arrêt Le même diapason. » Paul Valet

Publié dans Extraits, Poésie, Théorie | Laisser un commentaire

Le fragile

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« C’est le fragile qui l’emporte. » Paul Valet

Publié dans Citations, Poésie, Théorie | Laisser un commentaire

Comment garder l’ouvert ?

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« L’inconnaissable nous frôle sans se dévoiler. Il suffit de maintenir la possibilité d’une promesse qui ne se trahit pas. Trop de discours se referment. Comment garder l’ouvert ?… Revenir à la goutte d’eau qui se perd dans la mer. » Jacques Robinet

Publié dans Citations, Extraits, Théorie | Laisser un commentaire

Pour atteindre le silence

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« Écrire ces choses, remâchées depuis toujours, non pour me convaincre, mais pour atteindre le silence. » Jacques Robinet

Publié dans Citations, Extraits, Théorie | Laisser un commentaire

Encore nous sommes le possible amour

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« Des traces de mots sur la neige de papier. Un chant d’alouette dans la gorge… L’eau, le sel, le pain. Et même si le fer-blanc du jour fait muraille, même si la terre crevasse, même si les mains rident comme … Lire la suite →

Publié dans Extraits, Poésie, Théorie | Laisser un commentaire

Intermittents interstices

Publié le 27 mars 2020 par ecrivanture

« Intermittents interstices où la vie se révèle. Chat perdu, douleur tue, anciennes lettres relues, Visages réapparus, rires et pleurs, seringa D’un soir d’août perpétuant le paradis perdu. » François Cheng

Publié dans Poésie, Théorie | Laisser un commentaire