« Dessous la boue,
Depuis qu’elle est tombée
De mes mains,
Une lanterne
Brûle encore les cailloux,
Se rappelle à mon sang,
Appelle mes yeux.
J’irai un jour
Jusqu’au plus intérieur
Des terres.
J’irai
Commencer librement les racines,
De celles que nous aurions en commun avec les arbres,
Bruissant de connivence
Le long de la plus simple des promenades. »
Cédric Migard