« J’écris encore. Ah ! si je pouvais inscrire dans la durée le chant de ce rossignol qui vient de chanter ou cet éclat de lumière qui illumine la branche d’un noisetier à ma fenêtre. Comment suspendre le cours des apparences flottantes ? Il faut que les châteaux de sable s’écroulent à chaque marée, pour mieux les reconstruire, afin de défier la mort jusqu’à la fin…
Vivre c’est cela : plonger et renaître de la houle qui nous saisit, se joue de nous et nous emporte. »
Jacques Robinet