« Il faut simplement être capable de s’abandonner, c’est-à-dire de ne plus maintenir un contrôle de soi, de se vider la tête et de laisser la contemplation s’établir très lentement. C’est comme cela que j’écrivais, en écoutant cette voix silencieuse qui parle constamment en nous. La plupart de mes poèmes m’ont été quasiment dictés par cette voix intérieure. »
Charles Juliet