« Tu es sans fin,
un oiseau pour les airs, léger
de plus en plus dans la lumière,
seule ma peur encore te retient
dans le vent terrestre. »
Johannes Bobrowski
« Tu es sans fin,
un oiseau pour les airs, léger
de plus en plus dans la lumière,
seule ma peur encore te retient
dans le vent terrestre. »
Johannes Bobrowski