« Ce sont maintenant les premières heures du printemps
et déjà le jardin nous interpelle.
Je me dis que peut-être il rend grâce…
Ce dont je suis certain,
c’est qu’à cet instant précis où je t’écris,
mon regard s’en va ailleurs,
il s’envole avec l’herbe et avec les oiseaux des haies.
Et il ne reviendra pas de sitôt. »
Yves Namur