« Ce texte, oui, on peut l’écrire. Dans l’amour naissant, dans l’amour mort, le même, écrire. Dans cette confusion des temps, des genres, écrire… Écrivant pour voir, pour y voir. Ce texte on peut aussi ne pas le montrer ou même ne pas l’écrire. Simplement regarder. Les fleurs sur cette table, accablées de chaleur. La main à plat sur la page. Ou rien. C’est cela. Rien. Les grands passages de lumières dans le ciel en friche. »
Christian Bobin