Qui irrigue comme un sang

« La merveille est loin des effets de manche. (…) Et c’est le rinçage de la pensée, l’absolue émotion, la poésie révélée. Ce matin j’ai vu un oiseau se laver dans une flaque d’eau. Son application atavique délivrait cette poésie plus réelle que toutes les distorsions mentales. Loin des cénacles, l’or de la lumière défie la pensée, le geste et l’écriture d’une présence qui ne se sait pas mais qui irrigue comme un sang. »

Ile Eniger

Cet article a été publié dans Citations, Extraits, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s