Tout me servait

« Hier, investi des pleins pouvoirs, j’écrivais sans peine, sur la première feuille disponible : un fragment de ciel, un mur impavide devant le soleil et mes yeux, un pré, un autre corps. Tout me servait : l’écriture du vent, celle des oiseaux, l’eau, la pierre. »

Octavio Paz

Cet article a été publié dans Citations, Extraits, Poésie, Théorie. Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire