« Je savais qu’en dessous il y avait des contours tendres,
La charrue dans le champ comme un soleil levant,
Félicité, rivière glacée, qui au printemps s’éveille
Et les voix chantent dans le marbre
En haut des promontoires flotte le pavillon du vent
Rien n’obscurcira la beauté de ce monde…
Chaque tristesse est là pour couvrir un miracle…
Rien n’obscurcira la beauté de ce monde. »
Ilarie Voronca