« Je deviens le cheval dès que je dis cheval.
Je deviens l’océan dès que je dis eau vive, eau confuse, eau salée.
Mon destin est verbal et je n’occupe aucun espace entre les rives de ma parole…
Je ne m’appartiens plus.
Mon livre s’est ouvert : il faut que j’obéisse aux lois de sa musique. »
Alain Bosquet