« Cette floraison timide qui ne va pas jusqu’aux fleurs, cette échine vert-de-gris d’un muret, la flatter de la main c’est faire entrer dans son cœur la pensée qui délivre de toutes pensées, le consentement à vivre donc à perdre. »
Christian Bobin
« Cette floraison timide qui ne va pas jusqu’aux fleurs, cette échine vert-de-gris d’un muret, la flatter de la main c’est faire entrer dans son cœur la pensée qui délivre de toutes pensées, le consentement à vivre donc à perdre. »
Christian Bobin