« Le corps est un stylo, un mot, une tournure, puis il se fond dans la page
Et disparaît.
La pluie ? Un poème vertical.
L’harmonie des lointains — ici se dépose le frémissement de quelques mots exacts (non pas pour leur qualité mais pour leur venue, une force, le rythme qui bientôt s’impose)…
Je serai celui à découvert, nu, qui n’a pas peur
Ni du verbe ni du sujet. »
Lionel Marchetti