« Le froid gagne… Le texte piétine dans ses doutes. Parfois s’épelle un nom. La campagne nue comme une vérité démarie les blés des coquelicots… Aux planches des cabanes, la fente du jour peine… La tombée du soir gèle la lumière. On entend des voix faibles. C’est la saison du peu, la saison basse. La passante. »
Ile Eniger